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Glutathion Liposomal : Antioxydant

Glutathion Liposomal : Antioxydant

€30,80 EUR
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Les bénéfices potentiels de notre produit

  • Le glutathion (GSH) est un tripeptide produit par l’organisme : il fait partie des systèmes antioxydants endogènes et participe à l’équilibre « oxydant/antioxydant » des cellules.
  • Peut s’intégrer à une routine de bien-être (alimentation variée, sommeil, activité physique douce). Il s’agit d’un complément à vos habitudes, non d’un médicament.
  • Le GSH intervient dans des réactions naturelles dites de conjugaison (phase II du métabolisme) et présente des interactions métaboliques avec d’autres antioxydants alimentaires, comme les vitamines C et E.

Découvrez notre autre formule de glutathion réduit (GSH) ou notre complexe glutathion combiné à l'acérola (Vitamine C).

Cadre UE : aucune allégation de santé spécifique n’est revendiquée pour le glutathion au titre du règlement (UE) n° 432/2012.
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Le glutathion est un tripeptide endogène (cystéine, glycine, glutamate) présent dans toutes les cellules. Sous sa forme réduite (GSH), il participe au maintien de l’équilibre oxydant/antioxydant et intervient dans des réactions clés de détoxication (neutralisation des espèces réactives, conjugaison et élimination de certains composés). C’est également un maillon central du réseau antioxydant en interaction avec les vitamines C et E.

Notre Glutathion Liposomal (gamme Therapinov) associe le GSH à une phosphatidylcholine de tournesol titrée à 90 % pour former des structures liposomales. Ce design vise à protéger le glutathion de la dégradation digestive et à en favoriser l’assimilation au niveau intestinal, par rapport aux poudres non vectorisées. L’huile d’olive biologique soutient la phase lipidique, tandis que la gélule végétale HPMC garantit une prise pratique, compatible avec la plupart des régimes.

Conseils d'utilisation

Posologie

  • Portion conseillée : 2 gélules/jour, de préférence le matin ou le midi, au cours d’un repas riche en lipides de qualité (ex. huile d’olive, avocat, œufs) pour accompagner la forme liposomale.
  • Progressivité : terrain sensible ou première utilisation → commencer par 1 gélule/j pendant 3–5 jours, puis passer à 2 gélules/j si la tolérance est bonne.
  • Rythme : prise quotidienne à heure fixe (ex. petit-déjeuner) ; éviter d’alterner les horaires afin d’optimiser l’observance.

Durée : 4–8 semaines, renouvelable selon vos objectifs ; réaliser une pause d’1 semaine toutes les 8 semaines pour réévaluation.

Pour qui ?

Adultes souhaitant intégrer un apport en glutathion réduit dans une routine antioxydante cohérente (alimentation variée riche en végétaux, sommeil régulier, activité physique). Adapté aux régimes végétariens. Pour les profils polymédiqués ou avec suivi spécifique, privilégier un avis professionnel pour personnaliser la durée et le timing.

Conservation & précautions

  • Conserver au sec, à l’abri de la chaleur et de la lumière (bien refermer le flacon après usage).
  • Tenir hors de portée des enfants. Ne pas dépasser la dose recommandée.

Demander un avis médical en cas de pathologie chronique, de traitement au long cours (notamment thérapies pouvant être sensibles au statut redox) et pendant la grossesse/allaitement.

Composition

Tableau nutritionnelle

Actif Par 1 gélule Par portion (2 gélules) % VNR*
Glutathion réduit (GSH) 200 mg 400 mg —
Phosphatidylcholine (tournesol, 90 %) 10 mg 20 mg —
Huile d’olive biologique 20 mg 40 mg —

*VNR : valeurs nutritionnelles de référence non établies pour ces composés.

Formulation & composition

  • Ingrédients : Glutathion réduit (GSH), phosphatidylcholine 90 % (tournesol), huile d’olive biologique, poudre de riz ; enveloppe : gélule végétale HPMC.
  • Allergènes : sans soja ; sans OGM (déclaration fabricant).
  • Conditionnement : 60 gélules par pot – poids net : à compléter – DDM : à compléter – Pays de fabrication/conditionnement : à compléter.
  • Dosage par portion (2 gélules) : 400 mg de glutathion réduit, 20 mg de phosphatidylcholine 90 % (tournesol), 40 mg d’huile d’olive bio.

Origine & qualité

Matières premières tracées (PC de tournesol, sans soja). Fabrication sous GMP/ISO ; contrôles qualité par lot (identité, pureté, microbiologie, métaux lourds, oxydation). Formule vegan, sans OGM, gélule végétale HPMC.

Résultats attendus

Le glutathion réduit (GSH) est un pivot de l’équilibre redox cellulaire et participe à de nombreux processus de détoxication. Sous forme liposomale (encapsulation dans une matrice phospholipidique), l’objectif est de protéger l’actif pendant le transit et d’en soutenir l’assimilation digestive.

1. Équilibre redox & enzymes dépendantes du GSH

  • Couple GSH/GSSG : le rapport glutathion réduit/oxydé (GSH/GSSG) contribue au statut redox intracellulaire et à l’intégrité des protéines (ponts disulfure/thiols).
  • Enzymes antioxydantes : cofacteur des glutathion peroxydases (GPx) qui réduisent peroxydes et hydroperoxydes ; recyclage du GSSG en GSH via la glutathion réductase.
  • Protéostasie : participation aux réactions d’échange thiol-disulfure qui aident à maintenir la conformation fonctionnelle de certaines protéines.

2. Détoxication (phase II) & conjugaison

  • Conjugaison au GSH : via les glutathion-S-transférases (GST), certaines molécules réactives deviennent plus hydrosolubles et peuvent être excrétées.
  • Cycle γ-glutamyl : le GSH entre dans un cycle de transport & recyclage (incluant la γ-glutamyltransférase) qui soutient sa disponibilité tissulaire.
  • Évacuation : les conjugués peuvent être éliminés par les voies biliaire et urinaire, en fonction du contexte physiologique.

3. Réseau antioxydant & synergies endogènes

  • Maillage d’antioxydants : le GSH participe à la régénération de la vitamine C (ascorbate) et contribue au maintien de la vitamine E sous forme active, renforçant un réseau de défenses complémentaires.
  • Interfaces mitochondriales : le GSH cytosolique et mitochondrial contribue au contrôle redox local, paramètre clé du bon déroulement de nombreuses réactions bioénergétiques.

4. Intérêt du format liposomal

  • Protection digestive : l’enveloppe en phosphatidylcholine (tournesol) forme des vésicules qui peuvent aider à préserver le GSH d’une dégradation prématurée.
  • Compatibilité lipidique : la structure amphiphile des liposomes favorise l’interaction avec les membranes et peut soutenir le passage trans-épithélial.
  • Co-ingestion alimentaire : une prise au repas avec des lipides de qualité (ex. huile d’olive) s’inscrit dans la logique d’un transport lipid-mediated.

5. Disponibilité en précurseurs & soutien du pool GSH

  • Acides aminés soufrés : la cystéine est souvent le facteur limitant de la synthèse endogène du glutathion ; une alimentation variée et l’apport adéquat en précurseurs soutiennent le pool cellulaire.
  • Facteurs nutritionnels : oligo-éléments (ex. selenium, cofacteur des GPx) et vitamines impliquées dans les cycles redox peuvent contribuer au terrain antioxydant global.

Résultats attendus (repères d’usage)

  • 2–3 semaines : mise en place de la routine (prise régulière au repas), confort de prise et validation de la tolérance individuelle.
  • 4–8 semaines : poursuite au sein d’une démarche antioxydante globale (assiette riche en végétaux, sommeil, activité) ; ajustements possibles (timing, associations) avec un professionnel.
  • Long terme : intégration comme routine de fond avec réévaluations périodiques (toutes les 8 semaines : pauses courtes, paliers selon le contexte et la tolérance).

Cette section décrit des mécanismes biochimiques généraux (non thérapeutiques). Elle ne remplace pas un avis médical et ne constitue pas une allégation de santé.

Synergies & Antagonismes

Synergies recommandées

Le glutathion réduit (GSH) liposomal s’inscrit dans un réseau antioxydant où plusieurs nutriments agissent en complémentarité (précurseurs, cofacteurs enzymatiques, protection membranaire). Les associations ci-dessous visent la cohérence d’usage (assiette, redox, membranes) sans promesse thérapeutique.

1. N-acétyl-cystéine (NAC) & glycine

La cystéine (apportée sous forme de n-acétyl cystéine) et la glycine sont des précurseurs directs du GSH endogène. En duo avec un apport exogène en GSH, elles soutiennent le pool cellulaire et la régénération, surtout dans une assiette riche en protéines de qualité et légumes.

2. Sélénium

Cofacteur des glutathion peroxydases, le sélénium optimise l’utilisation du GSH par les enzymes. Viser des apports modérés et tracés (alimentation d’abord, complément si besoin, comme notre formule sélénium + vitamine E) pour éviter les cumuls inutiles.

3. Vitamine C & vitamine E

La vitamine C (hydrosoluble), par exemple via un complex de vitamine c ou de l'acérola Bio 17 % source de vitamine C, et la vitamine E (liposoluble) s’intègrent au maillage redox : la C aide à régénérer E, et le GSH participe au recyclage de la C. Priorité à l’alimentation (fruits/légumes, huiles/oléagineux), complémentation raisonnée au besoin.

4. Acide alpha-lipoïque (AAL)

Co-facteur redox polyvalent, l’AAL (ou acide alpha r-lipoic) peut soutenir le recyclage d’autres antioxydants (C, E, GSH). Intéressant dans des protocoles structurés et documentés, avec doses sobres et suivi.

5. Oméga-3 (EPA/DHA)

Apports de fond (par exemple, une source d'omega 3 comme l'huile de krill) pour la fluidité membranaire et l’équilibre oméga-6/oméga-3. Ils créent un terrain lipidique favorable où un GSH liposomal s’insère logiquement. Prise au repas, priorité à l’assiette (poissons gras, huiles appropriées).

Exemples d’usage

  • Routine minimaliste : GSH liposomal (au repas) + assiette riche en fruits/légumes (vitamine C naturelle) + oléagineux/huiles (vitamine E).
  • Support précurseurs : GSH liposomal + NAC + glycine (doses modérées) sur 4–8 semaines, avec pauses courtes et réévaluation.
  • Maillage redox : GSH liposomal + vitamine C alimentaire + AAL (faible dose) sous supervision si terrain particulier.
  • Membranes : GSH liposomal + oméga-3 (EPA/DHA) + alimentation non ultra-transformée (focus sur matrices lipidiques de qualité).

Adapter les associations à votre profil (âge, alimentation, activité), à votre tolérance et, si besoin, avec l’appui d’un professionnel.

Antagonismes & prudences

L’objectif est d’éviter les contextes qui peuvent réduire la tolérance ou créer des redondances peu utiles. En cas de doute, demander avis médical.

1. Grossesse & allaitement

Par précaution (données limitées), usage déconseillé sans avis médical. Prioriser l’alimentation et le suivi personnalisé.

2. Traitements sensibles au statut redox

Certains protocoles/médicaments peuvent être influencés par des apports antioxydants. Coordination médicale nécessaire pour définir le timing et éviter les interférences.

3. Empilement d’antioxydants à fortes doses

Éviter d’additionner plusieurs antioxydants hautement dosés (multi + C/E fortes doses + AAL + GSH) sans objectif clair ni suivi. Privilégier sobriété, pauses et réévaluations.

4. Hygiène de vie incohérente

Tabac, alcool élevé, manque de sommeil et alimentation ultra-transformée conditionnent l’intérêt d’une routine antioxydante. Travailler d’abord sur sommeil, hydratation, assiette végétale variée et activité physique douce.

Ces informations sont générales et ne remplacent pas un avis médical. Personnalisez les prises et la durée avec un professionnel si vous avez un traitement ou un contexte de santé particulier.

Références scientifiques

Le glutathion réduit (GSH) est largement documenté pour son rôle central dans l’équilibre redox, la détoxication (conjugaison de phase II) et l’interconnexion du réseau antioxydant (vitamines C & E). Les données cliniques sur la supplémentation orale restent hétérogènes : quelques essais (dont un sur le glutathion liposomal) montrent une augmentation des réserves corporelles, alors que d’autres soulignent des limites d’absorption. Sélection de publications évaluées par les pairs :

1. Forman HJ, Zhang H, Rinna A. Glutathione: overview of its protective roles, measurement, and biosynthesis. Mol Aspects Med. 2009;30(1–2):1–12. PubMed | PMC
→ Revue de référence : biosynthèse, fonctions protectrices du GSH et méthodes de mesure.

2. Lu SC. Regulation of glutathione synthesis. Semin Liver Dis. 2013;33(4):342–351. PubMed
→ Mécanismes de synthèse (GCL, disponibilité en cystéine), régulation et implications hépatiques.

3. Brigelius-Flohé R, Maiorino M. Glutathione peroxidases. Biochim Biophys Acta. 2013;1830(4):3289–3303. PubMed
→ Rôle des glutathion peroxydases (cofacteur sélénium) dans le contrôle du stress oxydant.

4. Aquilano K, Baldelli S, Ciriolo MR. Glutathione: new roles in redox signaling for an old antioxidant. Front Pharmacol. 2014;5:196. PubMed | PMC
→ Signalisation redox : fonctions élargies du GSH au-delà de la seule « défense antioxydante ».

5. Allen J, Bradley RD. Oral supplementation with liposomal glutathione elevates body stores of glutathione and markers of immune function: a randomized, double-blind, placebo-controlled trial. J Diet Suppl. 2014;11(1):19–32. PMC (étude liposomale) | PubMed (Eur J Clin Nutr. 2018)
→ Essai contrôlé en double aveugle : forme liposomale ; élévation de certains marqueurs GSH/immuns vs placebo.

6. Richie JP Jr., et al. (cité par) Lushchak VI. Glutathione homeostasis and functions: potential targets for medical interventions. Cell. Mol. Life Sci. 2023;80:94. PubMed | PMC
→ Synthèse mentionnant un essai randomisé de GSH oral avec hausse des niveaux sanguins et des vitamines E/C ; illustre la variabilité mais la faisabilité d’une élévation par voie orale.

7. Laffleur F, Keckeis V. Advances in drug delivery systems: work in progress still required? Adv Drug Deliv Rev. 2020. PubMed | PMC
→ Panorama des technologies d’administration orale ; place des nano-/liposomes pour améliorer stabilité et absorption.

8. Latrobdiba ZM, et al. Liposome optimisation for oral delivery of nutraceuticals. Food Research. 2023. PDF
→ Revue appliquée : optimisation des liposomes à base de phosphatidylcholine pour la biodisponibilité orale des nutraceutiques.

9. Zheng B, et al. 2-monoacylglycerol-mimetic liposomes to promote intestinal lymphatic transport and oral bioavailability. Int J Nanomedicine. 2024;19:—. PubMed | PMC
→ Données précliniques : les formulations liposomales peuvent favoriser le transport lymphatique intestinal et protéger l’actif de la dégradation digestive.

Note : les références 5 à 9 illustrent l’intérêt des formes liposomales et les résultats cliniques/précliniques disponibles. Les effets et la biodisponibilité peuvent varier selon la qualité de la formulation, la dose et le profil des utilisateurs.

Questions fréquentes

GSH « liposomal » vs S-acétyl-L-glutathion (S-ALG) : quelle différence et lequel choisir ?
Le GSH liposomal associe le glutathion réduit à des phospholipides (phosphatidylcholine) pour aider à sa protection et à son passage intestinal lors d’une prise au repas avec des lipides. Le S-acétyl-L-glutathion est un dérivé stabilisé qui suit un métabolisme différent et n’a pas la même composition. Si vous cherchez un apport direct en GSH dans une logique de réseau antioxydant et que vous prenez vos gélules au repas : la forme liposomale est cohérente. En cas d’accompagnement déjà structuré avec un professionnel, demandez-lui quelle forme s’intègre le mieux à votre protocole.

Peut-on ouvrir la gélule et mélanger le contenu dans un liquide ?
Nous recommandons de ne pas ouvrir la gélule : l’exposition à l’air et au liquide peut altérer l’intégrité de la matrice phospholipidique. Si l’ouverture est nécessaire (déglutition difficile), mélangez immédiatement dans une petite cuillère d’aliment gras (yaourt entier, compote + filet d’huile d’olive) et consommez sans attendre. Évitez les boissons chaudes et privilégiez la prise au milieu d’un repas.

Y a-t-il des effets indésirables possibles ? Comment optimiser la tolérance ?
La tolérance est généralement bonne. Chez certaines personnes sensibles : renvois/odeur soufrée transitoire, inconfort digestif léger. Astuces : commencez par 1 gélule/j pendant 3–5 jours, prenez toujours au cours d’un repas, hydratez-vous correctement. Si l’inconfort persiste, stoppez et demandez un avis professionnel.

Café, alcool, médicaments : y a-t-il des précautions de « timing » ?
Le café ne pose pas de problème particulier si la gélule est prise au repas. Évitez de consommer la prise simultanément à de l’alcool : espacez d’au moins 2–3 heures (par exemple, prenez le GSH au déjeuner si une boisson alcoolisée est prévue le soir). Pour les traitements au long cours potentiellement sensibles au statut redox, conservez un décalage de 2 heures et sollicitez l’avis du prescripteur pour valider l’horaire.

Entraînement sportif : quand le prendre par rapport à une séance ?
Si vous visez surtout la récupération, prenez la portion avec le repas principal le plus proche de la séance (souvent le déjeuner ou le dîner). Si vous privilégiez l’adaptation à l’entraînement (cycles d’endurance/force), évitez l’empilement d’antioxydants immédiatement après un effort très intense ; restez sur une prise au repas éloigné de 2–3 h de la séance et gardez des doses sobres.

Comment évaluer si le produit me convient ? Y a-t-il des marqueurs utiles ?
Faites simple : tenez un journal de prise (horaire, repas, ressenti, tolérance) sur 4–8 semaines. Côté biologie, certains praticiens utilisent des indicateurs indirects du statut redox (par ex. bilans oxydatifs, statut en selenium, etc.). Le dosage direct du GSH/GSSG existe mais reste réservé à des laboratoires spécialisés. Ce suivi n’est pas obligatoire ; il se discute avec un professionnel si vous en ressentez le besoin.

Voyage, chaleur, oubli d’une dose : que faire ?
Conservez le flacon bien fermé, au sec, à l’abri de la chaleur et de la lumière ; les contrôles aéroportuaires (rayons X) n’affectent pas le produit. En cas d’oubli : ne doublez pas la dose le lendemain ; reprenez simplement votre routine à la prise suivante. Lors d’un séjour au climat chaud, gardez le pot dans une trousse à l’ombre (éviter voiture en plein soleil) et poursuivez la prise au milieu d’un repas.

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